Les tueries d'Orlando et de Magnanville viennent encore d'accroître la trop longue liste des victimes du terrorisme de Daech.
À croire ces salopards, il n'y a ici-bas que deux engeances : les bons autodésignés et les mauvais, c'est à dire tous les autres.
Bien entendu, les bons ont le devoir, afin de hausser le niveau général, de soumettre les mauvais et d'éliminer les plus toxiques d'entre eux.
Face à cette conception morbide, les proies de Daech représentent notre diversité.
Un gay de Floride, un touriste, un militaire tunisien, un policier français, un dessinateur satirique danois, un visiteur japonais de musée, une jeune femme yezidie et tous les autres martyres n'ont qu'un seul point commun : leur humanité.
C'est pourquoi l'existence de chacun d'entre eux - c'est à dire, en pratique, l'existence de chacun d'entre nous - est insupportable aux cerveaux étriqués de l'axe autoproclamé du bien.
La quasi-totalité des 7 milliards d’humains qui peuplent notre planète doit continuer à opposer l'ensemble de ses nuances de gris au trop noir et blanc Daech.
À défaut, le piège que les terroristes nous tendent se refermerait sur nous.
La flamme de la vie ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas !
We shall never surrender! Never! Never!
Tristement votre
Références et compléments
Voir aussi les chroniques :
- 10 citations contre le terrorisme et la barbarie
- Daech s'est déjà implanté deux fois en Europe
Je me suis appuyé, pour ce billet écrit dans l'émotion, sur des auteurs bien plus qualifiés que moi :
- Charles de Gaulle qui, le 18 juin 1940, depuis Londres, appelait à raviver la flamme de la résistance française.
- Son compère Winston Churchill qui sensiblement au même moment promettait de ne jamais se rendre !
- E.L. James qui a titré son best-seller érotique mondial "50 nuances de gris".
- Maxime le Forestier qui a cité "les deux engeances" dans une chanson.
À croire ces salopards, il n'y a ici-bas que deux engeances : les bons autodésignés et les mauvais, c'est à dire tous les autres.
Bien entendu, les bons ont le devoir, afin de hausser le niveau général, de soumettre les mauvais et d'éliminer les plus toxiques d'entre eux.
Face à cette conception morbide, les proies de Daech représentent notre diversité.
Un gay de Floride, un touriste, un militaire tunisien, un policier français, un dessinateur satirique danois, un visiteur japonais de musée, une jeune femme yezidie et tous les autres martyres n'ont qu'un seul point commun : leur humanité.
C'est pourquoi l'existence de chacun d'entre eux - c'est à dire, en pratique, l'existence de chacun d'entre nous - est insupportable aux cerveaux étriqués de l'axe autoproclamé du bien.
La quasi-totalité des 7 milliards d’humains qui peuplent notre planète doit continuer à opposer l'ensemble de ses nuances de gris au trop noir et blanc Daech.
À défaut, le piège que les terroristes nous tendent se refermerait sur nous.
La flamme de la vie ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas !
We shall never surrender! Never! Never!
Tristement votre
Références et compléments
Voir aussi les chroniques :
- 10 citations contre le terrorisme et la barbarie
- Daech s'est déjà implanté deux fois en Europe
Je me suis appuyé, pour ce billet écrit dans l'émotion, sur des auteurs bien plus qualifiés que moi :
- Charles de Gaulle qui, le 18 juin 1940, depuis Londres, appelait à raviver la flamme de la résistance française.
- Son compère Winston Churchill qui sensiblement au même moment promettait de ne jamais se rendre !
- E.L. James qui a titré son best-seller érotique mondial "50 nuances de gris".
- Maxime le Forestier qui a cité "les deux engeances" dans une chanson.