La musique, parfois, a des accords majeurs,
Qui font rire les enfants, mais pas les dictateurs.
Bernard Lavilliers
Je signale aux "sectaires de tout poil" que leurs succès récents sont loin d'être acquis. Diversités culturelles et métissages vont longtemps leur "donner bien du fil à retordre".
Voici un bel exemple glané au fil de mes pérégrinations sur le web.
Joueur de oud et chanteur, Djamel Djenidi, a acclimaté Georges Brassens à l'ambiance de la rive sud de la Méditerranée, en le chantant sur le mode chaâbi, la musique populaire algéroise.
Mieux même, il a adapté en arabe des chansons du barde de Sète.
Je vous laisse découvrir le résultat grâce aux deux vidéos ci-dessous.
J'espère que ces interprétations originales, à tous les sens du terme, vous ont séduit, voire ému, autant que je l'ai été. Elles peuvent même s'avérer une excellente auto-défense.
En cas d'approche de "dragons de vertu", de "sycophantes", de "fanatiques de la cause", de "boutefeux" et autres "tristes bigots", il suffit passer en boucle et à tue-tête les chansons de Djamel Djenidi pour rappeler “à ces engeances de malheur” que notre monde, envers contre tout, va continuer à carburer au mélange.
"Plus de danses macabres autour des échafauds !"
Brassensiquement votre
Références et compléments
- Voir aussi les chroniques :
. "Brassens raconte la Tunisie d'après la révolution"
. "L'Estaca, grande chanson et petit air entêtant de liberté"
. "Tunisie sur Balkans"
- Pour tout savoir (ou presque) sur Djamel Djenidi et son orchestre El Djamila, il suffit de se rendre sur leur site web.
- Les expressions simultanément en italique et entre guillemets sont issues ou adaptées de chansons de Georges Brassens.
- Mehdi a été le déclic de cette chronique.
Qui font rire les enfants, mais pas les dictateurs.
Bernard Lavilliers
Je signale aux "sectaires de tout poil" que leurs succès récents sont loin d'être acquis. Diversités culturelles et métissages vont longtemps leur "donner bien du fil à retordre".
Voici un bel exemple glané au fil de mes pérégrinations sur le web.
Joueur de oud et chanteur, Djamel Djenidi, a acclimaté Georges Brassens à l'ambiance de la rive sud de la Méditerranée, en le chantant sur le mode chaâbi, la musique populaire algéroise.
Mieux même, il a adapté en arabe des chansons du barde de Sète.
Je vous laisse découvrir le résultat grâce aux deux vidéos ci-dessous.
J'espère que ces interprétations originales, à tous les sens du terme, vous ont séduit, voire ému, autant que je l'ai été. Elles peuvent même s'avérer une excellente auto-défense.
En cas d'approche de "dragons de vertu", de "sycophantes", de "fanatiques de la cause", de "boutefeux" et autres "tristes bigots", il suffit passer en boucle et à tue-tête les chansons de Djamel Djenidi pour rappeler “à ces engeances de malheur” que notre monde, envers contre tout, va continuer à carburer au mélange.
"Plus de danses macabres autour des échafauds !"
Brassensiquement votre
Références et compléments
- Voir aussi les chroniques :
. "Brassens raconte la Tunisie d'après la révolution"
. "L'Estaca, grande chanson et petit air entêtant de liberté"
. "Tunisie sur Balkans"
- Pour tout savoir (ou presque) sur Djamel Djenidi et son orchestre El Djamila, il suffit de se rendre sur leur site web.
- Les expressions simultanément en italique et entre guillemets sont issues ou adaptées de chansons de Georges Brassens.
- Mehdi a été le déclic de cette chronique.