Le 31 octobre 1728, à Alle sur Semois, village de l’actuelle Belgique, naissait Paul Brasseur.
À la même époque, à 2 300 km de là, en Turquie, dans la bourgade de Gediz, venait au monde Othman Kedous.
Paul et Othman ne se connaissaient pas et ne se sont jamais rencontrés.
Pourtant, 9 générations plus tard, à la fin du XXème siècle, ils avaient des descendants communs.
Je vous propose de parcourir, sur trois continents, ces destins croisés où petite et grande histoire s’entremêlent.
Sous la férule du sémillant duc Émmanuel-Théodose de le Tour d’Auvergne, paysans et villageois survivaient plus qu’ils ne vivaient.
La mortalité tant infantile qu’adulte atteignait des sommets. Paul, à sa naissance, possédait un espérance de vie d’environ 35 ans. Nous ne lui connaissons qu’un seul frère, Jean-Joseph, mais, en moyenne, les mères mettaient au monde 5 enfants.
En Anatolie, au centre de la Turquie d’aujourd’hui, la vie sous le règne du sultan ottoman Mahmud Ier le Bossu, était encore plus difficile car les techniques agricoles avaient moins évolué que dans l’ouest de l’Europe.
À sa naissance, Othman Kedous n’avait qu’une petite trentaine d’années devant lui et chaque femme portait près de 7 enfants.
Sa localité d'origine, dorénavant connue sous le nom de Gediz, est orthographiée à l'époque Kedous en alphabet latin et كدوس en alphabet arabe en vigueur dans l'empire ottoman.
Othman Kedous, en quête d’aventures et d’une meilleure existence, a très tôt quitté sa ville natale de Gediz pour s’engager dans l’armée de Ali Ier Pacha, bey ottoman qui régnait à Tunis.
Agé d’une vingtaine d’années, il est arrivé à Kelibia, au nord-est de la Tunisie.
Ce port stratégique, protégé par un fort imposant, abritait une partie de la flotte du bey.
Le monarque tunisien, soucieux de ne pas accabler son peuple d’impôts, préférait, pour subvenir à ses besoins, s’adonner à la « course ».
Cette sympathique activité consistait à exiger un péage aux bateaux franchissant le détroit séparant la Tunisie de la Sicile. Les resquilleurs prenaient le risque d’être capturés par la marine beylicale qui revendait ensuite hommes et cargaisons.
Le roi de France Louis XV, fervent partisan de la libre circulation chez les autres, envoya par deux fois une escadre bombarder les installations militaires et surtout les civils de Kelibia afin de calmer le racket tunisien.
Othman servit comme officier au fort de Kelibia, trouva la région à son goût, s’y maria et, vers 1761, devint l’heureux parent d’Ali Kedous.
Pendant ce temps, Paul Brasseur exerçait différents métiers.
Alors que sa famille résidait à Alle sur Semois depuis plus de 200 ans, il larguait les amarres et partait s’établir à Sugny, village distant de 5 kilomètres, à proximité de la frontière avec le royaume de France tracée par Louis XIV en 1680.
Il s’y établit définitivement en 1780 en convolant en justes noces avec Catherine Noël.
Dix mois plus tard, le 4 mars 1781 naissait son unique fils Jean-Joseph Brasseur.
Trois ans après, Paul, alors garde-chasse de Monsieur de la Biche, seigneur de Sugny, était malencontreusement assassiné dans des circonstances non éclaircies.
Les tunisiens, à la charnière entre XVIIIème et XIXème siècles, malgré la « course » à son apogée, vivaient dans un grand dénuement.
L’espérance de vie n’excédait pas 30 ans.
Aucun détail n’existe sur la vie de la famille Kedous, à l’exclusion de la naissance du petit-fils d’Othman, Hassan Kedous, vers 1791.
Quelque part entre 1792 et 1805, Jean-Joseph Brasseur profitait que la révolution française avait essaimé dans le sud de l’actuelle Belgique et aboli la frontière pour venir s’établir à Braux - devenu Bogny sur Meuse - dans la vallée de la Meuse, à 10 kilomètres de Sugny.
Le 18 décembre 1805, Jean-Joseph se mariait à Elizabeth Bajot, quelques jours après la victoire des troupes de Napoléon Ier à Austerlitz.
Leur premier enfant, Robert-Joseph Brasseur voyait le jour en mai 1808, date du début du soulèvement anti-napoléonien en Espagne.
En 1821, sous le règne agité de Mahmoud Bey, à la naissance de Khalil Kedous à Kelibia, niveau et espérance de vie n’avaient guère évolués en Tunisie depuis un siècle et stagneront jusqu’à la première guerre mondiale.
Au nord de la Méditerranée, la France entrait résolument dans l’age des usines et des chemins de fer.
En mai 1846, Rosalie Brasseur est mise au monde à Braux par Marguerite Husson, l’épouse de Robert-Joseph Brasseur.
À cette même date, Ahmed Ier Bey est le premier chef d’état tunisien à se rendre en visite officielle en France et à son dernier roi finissant Louis-Philippe.
Soucieux de moderniser son pays, il revint de ce voyage plus convaincu que jamais de la justesse de ses thèses.
Hélas, ce souverain imaginatif était un gestionnaire catastrophique secondé par un premier ministre véreux, Mustapha Khaznadar, alias Giorgios Kalkias Stravelakis d’origine grecque.
Rosalie Brasseur avait 5 frères et soeurs.
Suivant la tendance de l’époque, son mariage avec Ernest Barbe n’a engendré que 4 enfants, dont Catherine-Jeanne Barbe.
Celle-ci est née à Braux le 18 décembre 1877 au moment exact où la France - dont le régime était officiellement une république depuis 7 ans - devenait une véritable démocratie parlementaire, le président Patrice de Mac Mahon reconnaissant la victoire politique des députés « républicains » menés par Léon Gambetta.
Citons, notamment, en 1861 la première véritable constitution de tout le monde arabe.
Malheureusement, le management déplorable de leurs prédécesseurs, des résistances internes et l’avidité des puissances européennes aboutirent en 1881 - pile poil à la naissance d’Hassan Kedous - à la colonisation manu militari de la Tunisie par la France.
Le très républicain et humaniste Jules Ferry, soucieux des convenances, baptisa cette conquête protectorat et laissa le bey jouer les potiches officielles.
Catherine-Jeanne Barbe s’est mariée à Braux à la fin de 1901 avec Ernest Lenoir, fils d’un « tourneur en fer ». Associé à son frère Victor, il a fondé en 1909 la boulonnerie Lenoir. Après la première guerre mondiale, l'entreprise a absorbé la boulonnerie Mernier pour devenir « Lenoir & Mernier ».
Ernest Lenoir, bien que « patron », fut pendant de 1919 à 1934, le maire socialiste de Levrézy, village voisin de Braux.
En 1902, mon grand-père René Lenoir naissait à Levrézy, suivi en 1904 de son frère Maurice.
Agriculteur, marié à Khadouja Ben Abdallah, Hassan Kedous a eu 4 enfants nés au début du XXème siècle. Le troisième, Tahar Kedous, mon beau-père, vint au monde à Kelibia le 5 septembre 1911.
René Lenoir, à peine son « certificat d’études » en poche, travailla dans l’usine familiale dont il prit la direction effective à la fin des années 1930.
En 1925, il se mariait avec une parisienne Jeanne Pivet.
Résidant à Levrézy, ils eurent, de 1925 à 1933, cinq enfants, dont ma mère Claudine Lenoir née 1928. Deux de mes oncles sont décédés très jeunes de maladies infectieuses désormais aisément guérissables.
Ses enfants naissaient à Hammam-Lif, bourgade de banlieue, dont Afef Kedous en 1957, un an après l’indépendance de la Tunisie personnifiée par Habib Bourguiba.
Claudine Lenoir a suivi un parcours similaire, délaissant ses Ardennes natales au profit de Paris où votre serviteur, Didier Lebouc, vit le jour en 1961 alors que Charles de Gaulle peinait à extirper la France du bourbier de la guerre d’Algérie.
Toute naissance est la renaissance de nos ancêtres
Proverbe africain
Unifier c’est nouer même les diversités particulières
Antoine de Saint Exupéry
Généalogiquement votre
Références et compléments
Toute information venant compléter voire infirmer cette généalogie est par avance la bienvenue. Merci de me contacter.
De plus amples détails généalogiques et historiques - notamment les hypothèses, les doutes et les faits méconnus - peuvent être consultés sur ma base généalogique en ligne
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À la même époque, à 2 300 km de là, en Turquie, dans la bourgade de Gediz, venait au monde Othman Kedous.
Paul et Othman ne se connaissaient pas et ne se sont jamais rencontrés.
Pourtant, 9 générations plus tard, à la fin du XXème siècle, ils avaient des descendants communs.
Je vous propose de parcourir, sur trois continents, ces destins croisés où petite et grande histoire s’entremêlent.
Génération #1 - Belgique 1728 / Turquie 1731
Le Duché de Bouillon, en Ardenne désormais belge, où Paul Brasseur voit le jour était, au XVIIIème siècle, comme presque toute l’Europe, un territoire rural où les conditions d’existence commençaient juste à évoluer par rapport au Moyen Âge.Sous la férule du sémillant duc Émmanuel-Théodose de le Tour d’Auvergne, paysans et villageois survivaient plus qu’ils ne vivaient.
La mortalité tant infantile qu’adulte atteignait des sommets. Paul, à sa naissance, possédait un espérance de vie d’environ 35 ans. Nous ne lui connaissons qu’un seul frère, Jean-Joseph, mais, en moyenne, les mères mettaient au monde 5 enfants.
En Anatolie, au centre de la Turquie d’aujourd’hui, la vie sous le règne du sultan ottoman Mahmud Ier le Bossu, était encore plus difficile car les techniques agricoles avaient moins évolué que dans l’ouest de l’Europe.
À sa naissance, Othman Kedous n’avait qu’une petite trentaine d’années devant lui et chaque femme portait près de 7 enfants.
Sa localité d'origine, dorénavant connue sous le nom de Gediz, est orthographiée à l'époque Kedous en alphabet latin et كدوس en alphabet arabe en vigueur dans l'empire ottoman.
Ville de Kedous / كدوس / Gediz sur une carte de Turquie de 1794 |
Génération #2 - Tunisie 1761 / Belgique 1781
Othman Kedous, en quête d’aventures et d’une meilleure existence, a très tôt quitté sa ville natale de Gediz pour s’engager dans l’armée de Ali Ier Pacha, bey ottoman qui régnait à Tunis.Agé d’une vingtaine d’années, il est arrivé à Kelibia, au nord-est de la Tunisie.
Ce port stratégique, protégé par un fort imposant, abritait une partie de la flotte du bey.
Le monarque tunisien, soucieux de ne pas accabler son peuple d’impôts, préférait, pour subvenir à ses besoins, s’adonner à la « course ».
Cette sympathique activité consistait à exiger un péage aux bateaux franchissant le détroit séparant la Tunisie de la Sicile. Les resquilleurs prenaient le risque d’être capturés par la marine beylicale qui revendait ensuite hommes et cargaisons.
Le roi de France Louis XV, fervent partisan de la libre circulation chez les autres, envoya par deux fois une escadre bombarder les installations militaires et surtout les civils de Kelibia afin de calmer le racket tunisien.
Othman servit comme officier au fort de Kelibia, trouva la région à son goût, s’y maria et, vers 1761, devint l’heureux parent d’Ali Kedous.
Pendant ce temps, Paul Brasseur exerçait différents métiers.
Alors que sa famille résidait à Alle sur Semois depuis plus de 200 ans, il larguait les amarres et partait s’établir à Sugny, village distant de 5 kilomètres, à proximité de la frontière avec le royaume de France tracée par Louis XIV en 1680.
Il s’y établit définitivement en 1780 en convolant en justes noces avec Catherine Noël.
Dix mois plus tard, le 4 mars 1781 naissait son unique fils Jean-Joseph Brasseur.
Trois ans après, Paul, alors garde-chasse de Monsieur de la Biche, seigneur de Sugny, était malencontreusement assassiné dans des circonstances non éclaircies.
Le fort de Kelibia (cliché de 2008) |
Génération #3 - Tunisie 1791 / France 1808
Les tunisiens, à la charnière entre XVIIIème et XIXème siècles, malgré la « course » à son apogée, vivaient dans un grand dénuement.L’espérance de vie n’excédait pas 30 ans.
Aucun détail n’existe sur la vie de la famille Kedous, à l’exclusion de la naissance du petit-fils d’Othman, Hassan Kedous, vers 1791.
Quelque part entre 1792 et 1805, Jean-Joseph Brasseur profitait que la révolution française avait essaimé dans le sud de l’actuelle Belgique et aboli la frontière pour venir s’établir à Braux - devenu Bogny sur Meuse - dans la vallée de la Meuse, à 10 kilomètres de Sugny.
Le 18 décembre 1805, Jean-Joseph se mariait à Elizabeth Bajot, quelques jours après la victoire des troupes de Napoléon Ier à Austerlitz.
Leur premier enfant, Robert-Joseph Brasseur voyait le jour en mai 1808, date du début du soulèvement anti-napoléonien en Espagne.
El Tres de Mayo, tableau de Goya emblématique du soulèvement espagnol de 1808 et de sa répression par les troupes napoléoniennes. |
Génération #4 - Tunisie 1821 / France 1846
Le XIXème siècle fut une triste période pour le Maghreb qui est passé à coté de la révolution industrielle.En 1821, sous le règne agité de Mahmoud Bey, à la naissance de Khalil Kedous à Kelibia, niveau et espérance de vie n’avaient guère évolués en Tunisie depuis un siècle et stagneront jusqu’à la première guerre mondiale.
Au nord de la Méditerranée, la France entrait résolument dans l’age des usines et des chemins de fer.
En mai 1846, Rosalie Brasseur est mise au monde à Braux par Marguerite Husson, l’épouse de Robert-Joseph Brasseur.
À cette même date, Ahmed Ier Bey est le premier chef d’état tunisien à se rendre en visite officielle en France et à son dernier roi finissant Louis-Philippe.
Soucieux de moderniser son pays, il revint de ce voyage plus convaincu que jamais de la justesse de ses thèses.
Hélas, ce souverain imaginatif était un gestionnaire catastrophique secondé par un premier ministre véreux, Mustapha Khaznadar, alias Giorgios Kalkias Stravelakis d’origine grecque.
Médaille gravée en France par Adrien Féart à l'occasion de la visite d'Ahmed Ier Bey à Louis-Philippe Ier « roi des français » à Paris en 1846 |
Génération #5 - Tunisie 1851 / France 1877
M’Hamed Kedous est né à Kelibia en 1851. Il s’est marié vers 1876 avec Makhbouba Lengliz, probable descendante d’un sujet de sa gracieuse majesté britannique, soit victime de la « course », soit sorte de conseiller militaire dépêché par Londres pour épauler l’armée du bey.Rosalie Brasseur avait 5 frères et soeurs.
Suivant la tendance de l’époque, son mariage avec Ernest Barbe n’a engendré que 4 enfants, dont Catherine-Jeanne Barbe.
Celle-ci est née à Braux le 18 décembre 1877 au moment exact où la France - dont le régime était officiellement une république depuis 7 ans - devenait une véritable démocratie parlementaire, le président Patrice de Mac Mahon reconnaissant la victoire politique des députés « républicains » menés par Léon Gambetta.
Génération #6 - Tunisie 1881 / France 1902
Sadok Bey - monarque éclairé - et son emblématique premier ministre Kheireddine Pacha - né en Abkhazie au nord-ouest de l’actuelle Géorgie - n’ont pas ménagés leurs efforts pour faire décoller la Tunisie.Citons, notamment, en 1861 la première véritable constitution de tout le monde arabe.
Malheureusement, le management déplorable de leurs prédécesseurs, des résistances internes et l’avidité des puissances européennes aboutirent en 1881 - pile poil à la naissance d’Hassan Kedous - à la colonisation manu militari de la Tunisie par la France.
Le très républicain et humaniste Jules Ferry, soucieux des convenances, baptisa cette conquête protectorat et laissa le bey jouer les potiches officielles.
Catherine-Jeanne Barbe s’est mariée à Braux à la fin de 1901 avec Ernest Lenoir, fils d’un « tourneur en fer ». Associé à son frère Victor, il a fondé en 1909 la boulonnerie Lenoir. Après la première guerre mondiale, l'entreprise a absorbé la boulonnerie Mernier pour devenir « Lenoir & Mernier ».
Ernest Lenoir, bien que « patron », fut pendant de 1919 à 1934, le maire socialiste de Levrézy, village voisin de Braux.
En 1902, mon grand-père René Lenoir naissait à Levrézy, suivi en 1904 de son frère Maurice.
Vue d'une rue de Braux (Ardennes - France) en 1909 |
Génération #7 - Tunisie 1911 / France 1928
Agriculteur, marié à Khadouja Ben Abdallah, Hassan Kedous a eu 4 enfants nés au début du XXème siècle. Le troisième, Tahar Kedous, mon beau-père, vint au monde à Kelibia le 5 septembre 1911.René Lenoir, à peine son « certificat d’études » en poche, travailla dans l’usine familiale dont il prit la direction effective à la fin des années 1930.
En 1925, il se mariait avec une parisienne Jeanne Pivet.
Résidant à Levrézy, ils eurent, de 1925 à 1933, cinq enfants, dont ma mère Claudine Lenoir née 1928. Deux de mes oncles sont décédés très jeunes de maladies infectieuses désormais aisément guérissables.
Hassan Kedous et une de ses petites filles aux environs de Kelibia - Cliché pris vers 1958 |
Génération #8 - Tunisie 1957 / France 1961
Tahar Kedous a quitté Kelibia pour la capitale Tunis afin d’y étudier puis de s’y établir comme avocat.Ses enfants naissaient à Hammam-Lif, bourgade de banlieue, dont Afef Kedous en 1957, un an après l’indépendance de la Tunisie personnifiée par Habib Bourguiba.
Claudine Lenoir a suivi un parcours similaire, délaissant ses Ardennes natales au profit de Paris où votre serviteur, Didier Lebouc, vit le jour en 1961 alors que Charles de Gaulle peinait à extirper la France du bourbier de la guerre d’Algérie.
Habib Bourguiba reçu en visite officielle au château de Rambouillet par Charles de Gaulle en 1962 |
Génération #9 - France années 1980
Probablement atteints du même virus migratoire que leurs géniteurs, à l’orée des années 1980, la tunisienne et le parisien - sous le haut patronage de Valery Giscard d’Estaing puis de François Mitterrand - vinrent faire leurs études à Grenoble, oublièrent d’en repartir, se piquèrent de cohabiter ensemble et donnèrent naissance à deux enfants, joignant ainsi les lignées de Paul et d’Othman...Proverbe africain
Unifier c’est nouer même les diversités particulières
Antoine de Saint Exupéry
Références et compléments
Toute information venant compléter voire infirmer cette généalogie est par avance la bienvenue. Merci de me contacter.
De plus amples détails généalogiques et historiques - notamment les hypothèses, les doutes et les faits méconnus - peuvent être consultés sur ma base généalogique en ligne
- Paul Brasseur
- Othman Kedous (voir aussi version en anglais / see also English version)
- Ali Kedous
- Jean-Joseph Brasseur
- Hassan Kedous premier du nom
- Robert-Joseph Brasseur
- Khalil Kedous
- Rosalie Brasseur
- M'Hamed Kedous
- Catherine-Jeanne Barbe
- Hassan Kedous second du nom
- René Lenoir
- Tahar Kedous
Credit photos
- L'image du tableau de Goya, désormais exposé au musée du Prado à Madrid, El Tres de Mayo, provient de Wikimedia Commons
- Le cliché de la médaille de 1846 d'Ahmed Ier Bey provient du site de numismatique cgb.fr
- La photo des deux monstres sacrés Habib Bourguiba et Charles de Gaulle a été dénichée sur le site tunisien d'actualités Kapitalis