Les maux de la crise ne seraient-ils pas dans ses mots ?
Moody soit mon cerveau lent ! Depuis plus de six jours, ma pensée est devenue Standard & Pauvre et risque d'être emportée dans un cataclysme mondial d'une ampleur inégalée.
La valeur de mes lignes s'effondre. Mon talent rédactionnel subit une sévère crise de solvabilité : il s'est, pour ainsi dire, dissout.
Mes avoirs linguistiques sont réduits à néant, mes activités scripturales frisent le krach. Impossible d'émettre le moindre papier, mes neurones semblent partis dans un paradis fiscal.
Bref, sans même consulter les trois célèbres aaagences fort occupées par ailleurs, je sens bien que ma notaaation se dégrade, que je perds mes précieux A les uns après les autres.
L'heure est grave, le cours de l'humeur mondialisée flanche. Je vous Fitch mon billet que ce blog a une chance sur deux de se défaire avant Noël !
Comment vais-je pouvoir remettre mon appareil productif en ordre de marche ? Comment pourrais-je créer un salutaire choc de confiance ? Faut-il que je révise les traités sur la rédaction de chroniques ? que je convoque un sommet lexical ? Y a-t-il un institut d'émission de bons mots capable, en dernier recours, de m'en prêter quelques uns pour me renflouer ?
Il me faut un sérieux plan de rigueur. Que dis-je ? pas un, au moins trois !
C'est donc décidé, ce blog va devenir austère.
Je vais cesser de relater mes voyages dispendieux et mes humeurs triple C. Désormais, je me consacrerais exclusivement à des sujets sérieux. Deux thèmes permettront à ces chroniques de se désendetter :
- l'exégèse de la pensée mystique et néanmoins sociale de Jean-Claude Trichet,
- la relation de la vie sexuelle de la jeune Angela Merkel dans la République Démocratique Allemande du regretté Erich Honecker.
Zur le blan linguiztik, avin d'an vinir afec la guoubaple vrifolité de l'Eurobe ladine et tu Maqhrep, dézormais zes gronigues zeront rédichées an alleumant foire même an naurfaijien.
Ch'enfizache auzi te m'ajeder tes lunèddes rouches bour afoir l'air anguore blus rikoureux.
Joliment standard & pooriquement votre
Moody soit mon cerveau lent ! Depuis plus de six jours, ma pensée est devenue Standard & Pauvre et risque d'être emportée dans un cataclysme mondial d'une ampleur inégalée.
La valeur de mes lignes s'effondre. Mon talent rédactionnel subit une sévère crise de solvabilité : il s'est, pour ainsi dire, dissout.
Mes avoirs linguistiques sont réduits à néant, mes activités scripturales frisent le krach. Impossible d'émettre le moindre papier, mes neurones semblent partis dans un paradis fiscal.
Bref, sans même consulter les trois célèbres aaagences fort occupées par ailleurs, je sens bien que ma notaaation se dégrade, que je perds mes précieux A les uns après les autres.
L'heure est grave, le cours de l'humeur mondialisée flanche. Je vous Fitch mon billet que ce blog a une chance sur deux de se défaire avant Noël !
Comment vais-je pouvoir remettre mon appareil productif en ordre de marche ? Comment pourrais-je créer un salutaire choc de confiance ? Faut-il que je révise les traités sur la rédaction de chroniques ? que je convoque un sommet lexical ? Y a-t-il un institut d'émission de bons mots capable, en dernier recours, de m'en prêter quelques uns pour me renflouer ?
Il me faut un sérieux plan de rigueur. Que dis-je ? pas un, au moins trois !
C'est donc décidé, ce blog va devenir austère.
Je vais cesser de relater mes voyages dispendieux et mes humeurs triple C. Désormais, je me consacrerais exclusivement à des sujets sérieux. Deux thèmes permettront à ces chroniques de se désendetter :
- l'exégèse de la pensée mystique et néanmoins sociale de Jean-Claude Trichet,
- la relation de la vie sexuelle de la jeune Angela Merkel dans la République Démocratique Allemande du regretté Erich Honecker.
Zur le blan linguiztik, avin d'an vinir afec la guoubaple vrifolité de l'Eurobe ladine et tu Maqhrep, dézormais zes gronigues zeront rédichées an alleumant foire même an naurfaijien.
Ch'enfizache auzi te m'ajeder tes lunèddes rouches bour afoir l'air anguore blus rikoureux.
Joliment standard & pooriquement votre